Reportage réalisé dans le cadre du projet BOCHIALKI ou les rencontres en chemin.
Découvrez les jardins de Guinot et le combat des adhérents.
De l’esprit des jardins, une idée revient sans cesse
dans la parole des adhérents de la bande à Guinot :
favoriser l’échange et le savoir.
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Cultiver un jardin devient un moyen de se reconnecter aux rythmes des saisons, de ralentir notre notion du temps pour se concentrer sur l’instant, de revenir aux fondamentaux en toute simplicité.
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Cultiver un jardin devient aussi un prétexte pour cultiver l’esprit, pour faire et partager entre générations, pour découvrir autrement.
On répond aux pulsions d’expérimentation que celles-ci soient celles de cultiver son petit lopin de terre ou qu’elles soient celles de repenser ensemble ce qu’une communauté peut être.
Finalement, essayer en collectif, en s’appuyant sur la richesse
de chaque membre du groupe pour construire jour après jour
un lieu bienveillant.

Avant d’être un petit havre de paix, les jardins de Guinot furent un terrain laissé à l’abandon.
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Il y a plus de cinq ans, un groupe d’incorrigibles voisins ont décidé de retrousser les manches,
de déblayer cet espace et de le réaménager pour lui offrir une seconde vie.
